COACHING EN COURS !

Pitch, plaidoirie, présentation, discours 🎤

Vous connaissez leur point commun ?

Ce sont toutes des prises de parole professionnelles que l’on travaille dans les ateliers AdVocatio !

En solo ou en équipe, venez préparer vos prises de paroles en atelier ou tout simplement découvrir l’art oratoire pour devenir un orateur qui marque les esprits !

Vous ne pourrez plus dire « je n’aime pas », « je ne sais pas parler en public », « on ne m’entend pas »…

C’est simple et efficace !

L’ELOQUENCE EN ENTREPRISE

Eloquence et entreprise : l’importance de former les collaborateurs

Dans quel but ?

👉 Faire de vos collaborateurs de meilleurs communicants
👉 Favoriser leur employabilité
👉 Fédérer les équipes
👉 Développer leadership, assertivité et écoute

 Pourquoi ?

– Faire passer ses idées, motiver une équipe, vendre un projet supposent de générer de l’adhésion et cela passe par une bonne communication, notamment orale.

– Prendre la parole permet de motiver les collaborateurs plus facilement, de partager idées et enthousiasme plutôt que d’échanger des dizaines de mails à longueur de journée.

– La parole permet d’avancer, de construire, de se comprendre, de lever les conflits, de progresser, de fédérer les équipes, et aussi de négocier, de convaincre …

📌 Il est donc indispensable de former les collaborateurs à la prise de parole en public.

📌 Et au-delà de l’acquisition des techniques de communication, le coaching de prise de parole en public est un moment fédérateur pour les équipes, renforçant leur cohésion et donc leur force.

🚀 C’est ce que propose AdVocatio – prise de parole en public.

Au cours de ces coachings, je vous partage mon expérience et mes techniques d’#avocat pour une communication orale plus efficace 🚀.

Pour en savoir plus :  contact@advocatio.fr
Je répondrai avec plaisir à toutes vos questions ! 😀

comment la distance influence votre communication

Le saviez-vous ?
 
👉 La distance physique entre les individus influence leur communication.
 
👉 On parle de la proxémie. Selon les travaux de l’anthropologue américain Edward T. Hall, il s’agit d’une forme de communication qui désigne l’utilisation de l’espace et de la distance (et la variation de cette distance de cet espace) entre nos corps quand nous communiquons.

Vous avez tous fait l’expérience d’un individu qui s’approche très près de vous (dans le métro, dans une réunion). Par réflexe, vous reculez. Pourquoi ?

Les distances qui séparent les individus sont répertoriées en quatre catégories principales :
✔La zone intime (entre 15 et 50 cm) : zone comprenant une grande implication physique et émotionnelle (notre espace vital réservé aux proches)
✔La zone personnelle (entre 50 cm et 1,20 m) : utilisée dans les conversations amicales par exemple
✔La zone sociale (entre 1,20 et 3,50 m) : celle de l’interaction au travail par exemple
✔ La zone publique (supérieure à 3,50 m) : quand on parle à des groupes.

Or, quand un individu que vous connaissez peu pénètre dans votre zone intime ou personnelle, cela crée du stress, vos neurones identifiant une situation de danger.

Ce qui n’est pas le cas dans la zone dite « sociale »,  qui est au contraire la distance classique utilisée dans le cadre de relations professionnelles, lors d’une réunion par exemple.

Nous réagissons à ces règles de façon inconsciente.

En matière de communication, la distance joue donc un rôle.

📌 Ainsi, en avoir conscience permet d’en jouer et, le cas échéant, d’imposer une large zone de protection en augmentant la distance avec son interlocuteur afin de limiter les connexions, notamment sensorielles et donc les émotions. Cela revient donc à une forme de contrôle de la situation et donc de l’échange. De la même façon, un leader peut chercher à s’imposer en envahissant votre espace personnel, voire intime.

📌 Trouver la bonne distance n’est pas chose aisée. Elle dépend du contexte et des individus. A vous de faire vos expériences selon vos besoins.

📌 Par exemple : pour recruter un collaborateur, Bernard Tapie appliquait la règle des trois vingt, à savoir les vingt premières secondes, les vingt premières paroles, les vingt centimètres du visage (les commerciaux connaissent bien cette règle des 4 20 en réalité). En s’immisçant volontairement dans la bulle intime de son interlocuteur, il le cernait bien plus rapidement (car la première impression est toujours la bonne) et prenait sans doute un certain ascendant.

Et vous, utilisez-vous le pouvoir de la distance ? Quelles sont vos expériences dans ce domaine ?

Merci à la Directrice des Ressources Humaines avec laquelle j’ai échangé sur le sujet cette semaine. 😉